Une brève historique de différentes origines des premiers Gaignard au Canada sera faite dans cette page. Il est à noter qu’il y a au moin deux origines pour les Gaignard au Canada. La plus part des Gaignard sont de descendance Bretonne et pour quelques un, ils proviennent des Antilles (Origine exacte à être confirmé). À mesure aussi que nous aurons des informations aussi pour d’autres Gaignard qui ont marqué l’Amérique, nous nous ferons un plaisir de tranmettre ces informations. Par exemple, au Texas dans un article que j’ai déjà trouvé sur internet, dans les années 1731 environ, un certain Jacques Gaignard a mis fin à une gerre avec des Indiens avec un traité. Il y a aussi eu des Gaignard au Manitoba dans les années 1700 selon Geneanet
La lignée de descendance bretonne (descendants de François Gaignard)
Vers 1880, la Société de Colonisation de St-Hyacinthe, dont M. J.A. Chicoyne, avcat de Sherbrooke, était le grand promoteur, attirait les canadiens rapatriés vers les régons nouvelles. Des démarches se faisaient pour attirer dans les Cantons de l’Est des immigrants français ou belges. Une société fut fondée à Nantes, sous le nom de La Société de Colonisation des Cantons de l’Est et un conseil d’administration fut nommé. La société fut incorporée au Canada le 13 juin 1881 sous le nom de « La Compagnie de Colonisation et de Crédit des Cantons de l’Est ». Il semblait que les gens avaient pris l’habitude de l’appeler « La Compagnie Nantaise » . Malgré la courte existance de la Compagnie, elle attire de France une douzaine de familles, des Bretons, des Vandéens et des Savoyards. Aujourd’hui on retrouve encore dans la région Woburn des descendants de certaines familles sous les noms de Bécigneul http://becigneul.tripod.com/id10.html , Périnet, Durand, Gaignard, Galbrand ou Socquet.
Les premiers colons et défricheurs s’établissaient à la Colonnie de « Channay » au sud du lac Méganic aujourd’hui St-Augustin de Woburn, d’après Channay-sur-Lathan situé au nord-ouest de Tours et au nord-est d’Anjou en France.
Extraits du livre du centenaire de St-Augustin de Woburn en 1998.
Ancêtres GAIGNARD
Par: Germaine Gaignard Fortier
Famille de St-Mars de la Jaille en France, mon arrière-grand-père René Gaignard et son épouse Rosalie Michaud décident de partir, afin de trouver un coin de terre où la vie leur serait plus prospère.
En France, un père missionnaire faisait de la promotion pour le Canada. On Offrait un lopin de terre dans les Cantons de l’Est ou dans l’Ouest Canadien pour coloniser à qui veut bien immigrer. C’est après y avoir songé pendant l’hiver, c’est au printemps 1887 que le couple s’embarque sur un bateau pour le Canada avec leurs cinq enfants: Rosalie 13 ans « 1873-1947 » (A épousé Élisé Dubrûle à 22ans), Jean-Marie 11 ans « 1876-1952 », Julien 8 ans « 1879-1962 », René 7 ans « 1880-1969 » et le bébé de 8 mois François « 1886-1958 ».
Le voilier sans moteur, parti de Bonne-Oeuvre, doit voguer sur une mer houleuse, il doit même mettre l’ancre pendant trois jours pour laisser passer une tempète. De grosses vagues passent par dessus le pont. Les passager craignent le naufrage. Mon grand père Jean-Marie s’est toujours souvenu des beaux chevaux noirs morts du mal de mer, qu’on devait jeter par dessus bord et qui voguaient sur les flots avant de disparaitre à tout jamais. Une traversée difficile qui dura 18 jours.
Arivé à Québec, mon arrière-grand-père est tiraillé par la destination à prendre, soit l’Ouest Canadien ou Woburn. Comme la famille Hervé de France, qu’il cnnait (sa soeur et son beau-frère) est déjà arrivée en 1886 à Woburn et que l’Ouest Canadien est encore beaucoup plus loin, il opte pour Woburn dans les Canton de l’est.
On lui octroie une terre dans le rang V. Arrière-grandpère doit donc bûcher, faire de l’abattis, laboure, semer et construire. C’est un homme pas très grand mais très fort. Pour lui bûcher est un nouveau métier. Il y va a meilleur de sa connaissance mais parfois dangereusement. Mon grandpère raconait que son père ne « natchait » pas (Natcher signifie faire une encoche au bas de l’arbre pour le forcer à tomber du côté de cette encoche) Il ne pouvait donc pas être sûr de quel côté il tomberait. Tous les bûcherons savent que c’est très riqué de procéder de cette façon.
On m’a raconté que mon arrière-grand-père montait du village avec un sac de farine de 100 livres sur l’épaule sur une distance de quatre milles et demie sans le déposer, même s’il s’arrêtait pour jaser. À ce qu’il paraitrait, il n’était ni nerveux ni pressé, un bon vivant! Il allait faire moudre son grain à Stornoway en voiture à cheval à la meunerie des Legendre.
Une fois au Canada, la famille continue de s’agrandir: Marie « 1890-1971 » et Cécile (Cécilia) « 1892-1985 ». Cécile avait une soeur jumelle, Marie Albertine qui n’a survécu que 22 jours. Ce sont les premiers canadiens de la lignée des Gaignard nés au Canada. Leurs descendants portent cependant les noms de Chouinard et de Roy respectivement.
Mon grand-père Jean-Marie Gaignard épousa Marie Roy une femme très charitable et humaine, travaillant très dur tout en donnant naissance à 12 enfants dont les 2 premiers, Pauline et Alfred décédèrent tout jeune. Émilia, Félix, Jean, Marie, Louise, Pauline, Germaine, Louis, Arthure et Paul sont les 10 autres enfants de Jean-Marie Gaignard et Marie Roy.
Dans les différents annaires téléphonique, on compte en 1998, 68 familles Gaignard d’inscrites au Canada dont 59 vivent au Québec. Cette information à été prise sur internet, en consultant http://www.fr.canada411.ca/index.html .
Les descendans au Canada de la lignée de François Gaignard (1772) et qui portent le nom de Gaignard sont tous descendant de René (1810) et ensuite René ( 1848 ) et ensuite de Jean-Marie (1876), Julien (1879), René (1880) ou François (1886). Les premiers Gaignard à naitre au Canada qui ont conservé le nom de Gaignard toute leur vie ont été Marcel et Émilien, fils (Jumeaux) de Julien nés en 1903. Jean-Marie avait eu un premier enfant en novembre 1902 qui n’a pas survécu. Il a été inhumé à Woburn le 7 novembre 1902 sous le nom de « Anonyme Gaignard »
Les Gaignard qui vivent en Abitibi sont les descendant de René dit « Arnaud ».
Autres descendants des GAIGNARD
Extraits du livre du centenaire de St-Augustin de Woburn en 1998, page des Hervé.René Gaignard (1810) avait aussi une fille Jeanne qui avait épousé Jean-Baptiste Hervé, fils de Jean-Fançois Hervé et de Marie Gruaud, à St-George sur Loire en France. Ils sont arrivé au Canada et se sont établis à Woburn une année avant René ( 1848 ) avec leurs 5 enfants soit en 1886 dans un petit camp avec aucune commodité. Lui disait toujours « Quel sale pays, je ne mourrai pas ici ». Ils ont eu un 6ième enfant en 1888 au Canada. Jean-Baptiste travaillait pour le curé comme bedeau et était aussi maître-chante. Ils avaient toujours un beau jardin. Jeanne vendait des légumes pour faire quelques sous. En 1906 ils sont parti pour pour l’Ontario avec Jeanne-Marie et François leur fils né au Canada. Ils y ont vécu une dizaine d’année et ils sont revenus à Woburn.
Jean-Baptiste et Jeanne retourneront en France vers 1921. Sur le bateau un homme s’occupe d’eux et en débarquant leur vole leurs biens. Jean-Baptiste est décédé en France en mai 1924 et Jeanne est revenue chez Jeanne-Marie puis à Woburn chez Louise où elle meurt le 10 mai 1926.
De Woburn vers l’Abitibi avec le plan Vautrin.
Suite à la crise de 1929, Irénée Vautrin Député de Montréal-St-Jacques et ministre de la colonisation, voyant la quantité de chomeur dans les villes a présenté son projet de loi No.44 qui développerait l’agriculture sur des nouvelles terre qui n’étaient pas encore exploitées et qui donnerait du travail à des futur cultivateurs. Le plan Vautrin était semblable au plan Gordon au fédéral. En faisant des recherches sur « Le plan Vautrin » dans GOOGLE, on peut retrouver plus de 600 articles qui traite de ce plan qui a apporté plus de 25000 personnes en Abitibi-Témiscamingue et développé les paroisses autour des municipalitées qui vivait de l’exploitation des mines depuis quelques années dans cette région. On peut trouver une description du plan Vautrin dans le livre « Les Grands Débats Parlementaire 1792-1992 » à l’adresse suivant: http://books.google.ca/books?id=m-u61R-ou8wC&pg=PA211&lpg=PA211&dq=%22Plan+Vautrin%22&source=bl&ots=iYEsEMTh4H&sig=rQwA3QeZxPkqNZIXJc0XVUZ_9vs&hl=fr&sa=X&oi=book_result&resnum=3&ct=result#PPA212,M1
Qui était Irénée Vautrin: http://www.memoireduquebec.com/wiki/index.php?title=Vautrin_%28Ir%C3%A9n%C3%A9e%29
Portrait de Bellecombe: http://www.sante-abitibi-temiscamingue.gouv.qc.ca/documents/portrait-bellecombe.pdf
À ce moment, René Gaignard (Arnaud) et ses enfents qui étaient déjà d’âge adulte, ont été recrutés pour bénéficier de ce projet de loi qui leur semblait prometteur. Ils se sont tous établis dans le canton Bellecombe, plus précisément à Ste-Agnes de Bellecombe. René Gaignard avait reçu une terre 100 acres juste un peu avant d’arriver où devait se trouver le village même soit sur la route principal qui menait de Rouyn à Ste-Agnes de Bellecombe entre les rang 9 & 10 et 7 & 8. En réalité le coin sud Ouest de sa terre se trouvait au centre où devait se trouver le village. Ce bout de route primaire n’a jamais été baptisé car à l’endroit où devait se trouver le village, ce n’était que de la roche. Le village ainsi que le chemin de traverse entre les deux rangs ont été déplacés de 1½ mile vers l’est. Les gens ont longtemps appelé ce bout de chemin la Grande ligne et avec le temps, elle s’est cicatrisée peu à peu. Elle ne parait pratiquement plus aujoud’hui. Les cantons avaient 100 miles carrés (10 miles par 10 miles mais pas nécessairement un carré parfait à cause des accidents géographique) et il y avait un rang à tous les 2 miles et chaque terre assignées aux colons cultivateurs avaient 1 mile de profondeur et il y avait 5 terres de large sur un mile de rang. (Voir la carte dans « Portrair de Bellecombe » page 3)
Albert avait reçu une terre à 1.2 miles du village où il est localisé actuellement, dans le rang 7 & 8 Ouest. En réalité sa terre était dans le rang 8 (Côté nord du rang). Auguste avait rêçu sa terre dans le rang 7 & 8 est soit de l’autre côté du village. Il était à .8 mile du village et en réalité dans le rang 7 (Côté sud du rang).
Je trouve très intéressant cet écrit puisque j’ai un beau frère du nom de Donat Gaignard, il demeure à Chicoutimi, ancien employé au Bell il est âgé de 79 ans, il a deux fils Jacques et Michel tous deux ingénieurs.jacques travaille à l’acan au Saguenay et Michel travaille à l’hydro québec et demeure à Blainville. Jacques a deux fils Maxime et Alexandre et une fille Véronique. Michel a un fils Mathieu, et et une fille Mélanie étudiante à Montréal. Merci Andrée
Je vous remerci pour les commentaires. Donat Gaignard a communiqué avec moi il y a quelques mois. Il m’avait donné les dates de naissance de ses enfants et de ses petits enfants mais mon ordi a brisé et je les ai perdus. Je lui ai retourné un message et il n’a pas répond. Je le trouve très intéressant. Je me demandais s’il ne lui était pas arrivé quelque chose. On ne sait jamais. Avant qu’il communique avec moi, j’avais déjà vu son nom mais je ne savais pas s’il existait encore. Ça serait intéressant d’avoir les coordonnées des enfants et petits enfants. Je ne suis pas encore rendu à ces générations mais ¸ça va venir. Je travail encore alors je n’ai pas beaucoup de temps pour moccuper de la généalogie pour l’instant mais j’accumule les informations. Je dois aussi dire que les Gaignard en général ne sont pas très communicatif. Je ne dois pas être un vrai Gaignard.
� la prochaine et je vous remercie de tout coeur.
Bonjour madame
Je ne sais si vous avez eu une réponse de Donat Gaignard mais il étais mon copain de travail chez Bell j’ai son ancien numéro de tel. et je connais bien ses 2 garconssi vous avez d’autres nouvelles veillez svp communuquer avec moi je sais qu’il est né a wooburn
Merci bonne journée
Bonjour M. Toulouse. je ne comprend pas que je n’avais pas vu votre courriel. Je les vérifie pas tous les jours mais presque et le votre m’a échapé. J’avais écri à Donat Gaignard mais la dernière fois il ne m’a pas retourné de réponse. J’aurais bien aimé qu’il communique plus pour pouvoir avoir une tranche de leur histoire de histoire. Il a son fils Michel qui demeure à Blainville je crois et moi ma fille demeure à Terbonne et a sa clinique de Chiropratique à Blainville. J’aurais aimé le rencontrer quand je vais dans cette région. Mon ordi a brisé après qu’il m’a donné quelques informations sur sa famille et je ne les trouvent plus. Je devrais cependant les avoir encore mais ça me rassurerais si cette branche peut rester solide après l’arbre. Je n’ai pas gros de temps à travailler après l’arbre mais je continue à accumuler les informations. Merci de votre intérêt
Cette famille est apparentée à la mienne, ma grand mère était Philomène Gaignard de Bonnoeuvre en France.
mon fils Thibaut est étudiant en master informatique et cherche un stage (bac + 4) si vous avez des pistes…..
bien cordialement
Madame Gaignard-Fortier
Je prépare une recherche sur les familles françaises établies à Woburn et à Lac-Mégantic avec la compagnie Nantaise.
Je fais des recherches sur plusieurs familles dont les Gaignard.
Je pourrais vous envoyer une résumé de mon projet et communiquer avec vous pour plus de renseignements sur ces familles
Marcel Fournier
Historien et généalogiste
Longueuil (Québec)
450.448-7392
Bonjour. Je vous remerci, ça me ferait très plaisir car il serait intéressant d’avoir le plus d’informations possible. Je ne suis pas Mme Gaignard-Fortier mais elle a fourni plusieurs informations qui ont été très utiles pour commencer ce site et elle le consulte quand même assez souvent. Je suis Roch-Émile Gaignard et demeure à Rouyn-Noranda. Vous pouvez avoir mes coordonnées complètes sur la page « CONTACTS » de notre site.Mme Gaignard-Fortier demeure à St-Jean sur Richelieu. Vous pouvez utiliser l’adresse sympatico aussi.
Bonjour M. Fournier. En décembre 2009 vous faisiez une recherche sur les migrants français arrive à Woburn à Piopolis et à Lac-Mégantic.par la Compagnie Nantaise à la fin du 19e siècle. Vous m’aviez envoyé une partie d’un résumé de vos recherches. Je le trouvais très intéressante. Vous devez certainement l’avoir terminé. J’aimerais savoir si on peut se procurer une copie, où on peut trouver votre ouvrage. Je vous remercie pour votre intérêt sur l’histoire et la généalogie. Vous pouvez communiquer avec moi par courriel à rock.gaignard@hotmail.com . Au plaisir de vous lire. Roch-Emile Gaignard.
je suis nee le 31 mars 1957 d’une jeune femme belge de 24 venant de l’Abitibi.elle etait l’ainee d’une famille de 12 enfants vivait sur une ferme,aimait la foret et l’equitation…Mon pere selon ses dires etait un prospecteur de 40 ans,J’ai ete adoptee a la misericorde et n’ai jamais retrouve mes ancetres.si quelqu’un a une idee comment faire.Le gouvernement a fait (supposement)les recherches ordonnees par la cour mais supposement sans succes…J’aurais bien aime connaitre mes origines et remercier ma mere pour m’avoir donne la chance a une vie meilleure
Bonjour Léa. Je m’excuse je n’ai pas vu votre correspondense du 13 avril 2012. Vous cherchiez votre mère biologique et je suppose que vous êtes une Gaignard ou que vous avez une certaine relation avec des gaignard, peut être qu’on vous a dit que votre mère est une Gaignard ou votre père. J’aimerais savoir si vous avez trouvé. Vous pouvez me contacter à: rock.gaignard@hotmail.com.
Je m apelle julien gaignard j ai 21ans toute ma famille et originaire du 72 si quelqun a des renseignement merci
Bonjour,
Je m’appelle Agnès Gaignard j’ai 35 ans, je suis originaire d’Angers dans le Maine et Loire et toute ma famille est originaire du 49. Il y a quelque années j’ai commencé l’arbre généalogique de ma famille car depuis toujours je ne sais pas pourquoi je suis attirée par le Canada, le Québec !! Et attirée oui parce que ce pays me plaie énormement, mais aussi par autre chose et je n’arrive pas à l’expliquer. Mais bizzarement je n’arrive pas à avancer dans mon arbre, pouvez vous m’aider, moi je vais reprendre mes recherches de mon coté, mais maintenant je n’habite plus dans le Maine et Loire, mais en Gironde à 400 km de ma région.
Merci d’avance pour votre site déjà et de votre aide si possible
Agnès
Bonjour, mon nom est Michel et j’ai parlé à votre fille Kiro à Blainville. Si vous avez besoin des nom de mes enfants avec les dates de naissance et le nom de petit fils, il me fera plaisir de vous donner les infos.
Ma grand mère est la fille d’Émilia Gaignard :) elle a grandit à woburn, elle s’appelle Cécile Vachon. C’est intéressant de connaître l’histoire de l’arrivé des mes encêtre.
Bonjour
je demeure en france et je suis de la famille Gaignard /Gautier et m’occupe de généalogie.
glahaie@free.fr
à bientôt peut être